Comment devenir une femme leader accomplie ?

DÉCOUVREZ LES 10 COMPÉTENCES POUR RÉUSSIR SANS S’ÉPUISER !

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CE GUIDE DE LA FEMME LEADER

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Le leadership féminin, c’est quoi ?

Le leadership, c’est une évidence, n’a pas de sexe. Cette capacité n’est spécifique ni aux hommes ni aux femmes.

Le leadership, c’est un ensemble de soft skills que l’on n’apprend pas en apprenant notre métier. Par exemple :

Ainsi, le leadership, c’est la capacité à entraîner une équipe dans sa vision, son objectif, à la fédérer autour de soi.

Le leadership permet de susciter chez ceux qui nous entourent l’enthousiasme et la participation ; de développer et faire croître les performances communes en s’appuyant sur des forces individuelles.

Mais si le leadership n’a pas de sexe, pour beaucoup de femmes leaders, il est capital de réfléchir à la notion de leadership féminin.

Car nous vivons dans une société patriarcale, qui n’a pas toujours valorisé ces qualités d’autorité et de responsabilité chez les femmes – et qui reste encore loin de les valoriser systématiquement.

Le leadership est toujours aujourd’hui un territoire masculin, d’où la nécessité de comprendre ce qu’implique un leadership féminin et le désir, pour beaucoup de leaders féminines, de développer des compétences dont elles estiment manquer.

C’est la raison pour laquelle j’ai écrit ce guide de la femme leader, qui vous oriente sur les compétences à développer pour réussir sans s’épuiser :

En somme, comment être une femme leader épanouie et accomplie ?

Je vous invite à réfléchir également à 3 pièges à éviter et à 3 clés pour gagner en leadership.

3 pièges à éviter pour un leadership serein

Le leadership féminin connaît aussi des écueils à éviter.

Les voici résumés sous la forme de 3 pièges à reconnaître et à éviter quand on est une femme leader.

1. Se laisser guider par les stéréotypes de la femme leader

Les femmes au travail sont entourées de stéréotypes. Les femmes leaders le sont encore plus !

Et vous avez sans doute déjà entendu parler de ces femmes aux profils caricaturaux :

  • La femme leader à la carrière fragilisée par son statut de mère
  • La cheffe d’entreprise qui veut agir « comme un homme » et compense par un surplus inutile d’autorité
  • La femme manager sans cœur à l’ambition dévorante
  • La femme entrepreneure infaillible qui ne s’arrête jamais de travailler
  • La dirigeante trop douce et effacée, qui manque d’autorité naturelle
  • La femme cadre trop émotive pour bien gérer la pression
  • Etc.

Comment être une femme leader et rester soi-même quand on est cernée par autant de préjugés et d’injonctions ?

Comment diriger en cherchant sans cesse à coller à une figure idéale ou à éviter les clichés ?

On ne le dira jamais assez : méfiez-vous des stéréotypes !

Et cela vaut aussi pour les plus valorisants, comme par exemple l’idée qu’une femme est capable de faire plusieurs choses à la fois ou qu’elle est forcément plus compréhensive qu’un homme.

Ces expressions du sexisme bienveillant peuvent devenir des pièges et des raisons supplémentaires de vous mettre la pression.

2. Vouloir plaire à tout le monde

La volonté de plaire à tout le monde est un trait que reconnaissent souvent les femmes elles-mêmes dans l’univers professionnel.

Pour beaucoup, il est important :

  • De toujours répondre favorablement aux sollicitations
  • De faire au mieux pour chaque collaborateur
  • De rendre service aux autres
  • De prendre davantage de travail pour soi
  • Etc.

En bref : les femmes ont souvent des difficultés à dire non. Ce qui est souvent le résultat d’un syndrome de l’imposteur ou d’un manque de confiance en soi pour réussir à s’imposer.

Ces comportements limitants sont de potentiels freins à leur carrière et à leur épanouissement.

3. S’enfoncer dans le syndrome de la bonne élève

En plus du syndrome de l’imposteur, les leaders féminines qui ne parviennent pas à développer un leadership serein sont souvent touchées par le syndrome de la bonne élève.

D’ailleurs, les filles sont statistiquement meilleures que les garçons à l’école, mais elles sont pourtant loin de représenter une aussi grande proportion de leaders dans le monde professionnel !

C’est en réalité que beaucoup croient que, pour réussir, il faut être parfaite.

Le syndrome de la bonne élève se manifeste dans un perfectionnisme qui en devient parfois paralysant, dans l’idée que si l’on n’est pas immédiatement brillante dans ses fonctions, elles ne sont pas faites pour nous.

Pourtant, réussir, c’est apprendre à échouer !

Ce n’est qu’en rencontrant des échecs et en apprenant de ces échecs que l’on trouve la voie de la réussite. Ce n’est qu’en éliminant ce qui ne marche pas que l’on apprend ce qui fonctionne.

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Vous savez éviter les pièges ?

Voici maintenant les pistes à travailler !

3 clés pour être une femme leader et confiante

Pour devenir une femme leader inspirante, il est indispensable de travailler sur la confiance en soi et en les autres.

1. Travailler son sentiment de légitimité

Nous l’avons évoqué un peu plus haut : l’un des freins psychologiques les plus répandus à l’épanouissement des femmes leaders est connu sous le nom de syndrome de l’imposteur.

Concrètement, cela se manifeste dans leur sensation de ne jamais être pleinement légitimes dans leurs fonctions et la crainte que, un jour, on se rende compte de leur incompétence pour le poste qu’elles occupent.

Et cela entraîne de nombreuses conséquences concrètes pour leur carrière :

Elles ne saisissent pas toutes opportunités professionnelles qui se présentent à elles.

Elles ont souvent la tentation de devoir redoubler d’efforts et de travail pour justifier leur place… et risquent le burn-out.

En développant son sentiment de légitimité, on gagne bien sûr en sérénité au quotidien, mais aussi en leadership.

Cela passe par le fait d’avoir conscience que chacun traverse des moments de doute, que l’on soit un homme ou une femme. Cela passe aussi par travailler sa confiance en soi de manière générale, dans sa vie personnelle.

Et cela passe surtout par le fait de savoir apprécier ses réussites !

Devenir une femme leader épanouie réclame de prendre conscience de ses forces, de croire en sa capacité à surmonter les difficultés et les échecs.

Le sentiment de légitimité se construit aussi dans l’action, en se mettant davantage en avant lors des réunions ou en faisant concrètement connaître ses réussites aux autres.

2. Apprendre à oser

Nous en avons parlé : historiquement, les femmes n’ont jamais été encouragées à prendre les devants et à leader. Développer son leadership au féminin passe donc par l’apprentissage de l’audace !

Car la leader doit savoir oser dans de nombreuses circonstances :

  • L’instauration de limites personnelles: Devenir une femme leader confiante et épanouie, c’est enfin savoir poser des limites et les faire respecter. Ce n’est pas toujours agréable et c’est ce qui réclame parfois le plus d’audace, mais c’est une étape indispensable pour assoir son autorité, sa crédibilité et instaurer des relations de confiance.
  • La prise de risques : Être une femme leader réclame de savoir prendre des risques quand il s’agit d’innover ou de remettre en question les process qui ne sont plus pertinents. Prendre une décision, c’est prendre un risque ! Et cela requiert une certaine dose de témérité.
  • La construction d’une vision à long terme: Une femme leader doit bien sûr savoir penser comme n’importe quel leader. Cela revient à construire et croire en des objectifs et des stratégies, avec suffisamment de conviction pour être portée par cette vision.

C’est notamment en prenant conscience de la valeur des échecs que l’on peut apprendre à oser.

Il faut avoir conscience que chaque échec est un enseignement précieux pour l’avenir : la réussite se construit aussi et surtout dans les échecs.

3. Faire confiance aux autres

Finalement, la confiance en soi doit nécessairement être complétée par la confiance que l’on est en capacité de donner aux autres.

Ce lien aux autres est essentiel dans un leadership inspirant : on est leader que lorsque les autres nous suivent.

Lorsqu’on est capable de fédérer une équipe et de gagner sa confiance

Lorsqu’on est capable de bien communiquer avec ses collaborateurs et de comprendre leur point de vue

Lorsqu’on est capable de s’entourer de partenaires avec qui on entretiendra de bonnes relations de travail

Bâtir de bonnes relations aux autres demande de leur faire confiance. Dans ce cadre, notamment, apprendre à déléguer est indispensable !

Alors, en résumé, comment être une femme leader ?

On découvre que c’est souvent devoir se poser plus de questions et faire face à plus d’écueils que les hommes :

… Et bien plus encore !

Si vous voulez aller plus loin, ce livret de 28 pages sur les 10 compétences à maîtriser pour réussir sans s’épuiser est en téléchargement gratuit !

Un véritable guide qui vous aidera à devenir la femme leader que vous rêvez d’être.

 

Masterclass décider pour mieux leader Jenny Chammas

Qui suis-je ?

Je suis Master Coach certifiée par The Life Coach School, diplômée de Sciences-Po et de l’Institut Français de la mode et maman de 2 enfants.

Pendant 10 ans, j’ai eu une belle carrière de management à l’international. J’ai franchi plusieurs étapes décisives : démission suite à un burn-out, promotions successives et expatriation pour un poste au CoDir. Aujourd’hui  et depuis  plusieurs années,  je dirige  mon entreprise avec une équipe de coachs et évolue dans ma zone de génie : l’accompagnement des leaders. 

J’ai déjà aidé des centaines de femmes à s’épanouir dans leur leadership, à obtenir des promotions, des augmentations, à lever des fonds, à vendre leurs idées, à gagner des appels d’offres.

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